Les entreprises évoluent dans un contexte VUCA (volatil, incertain, complexe et ambigu), rendant, pour un décideur, l’exercice d’évaluer l’évolution probable de la conjoncture de plus en plus difficile, et en conséquence, tout autant les ajustements à opérer pour optimiser sa performance.

Cela, d’autant plus que le contexte économique et réglementaire dans lequel toute entreprise évolue, fait lui-même l’objet de négociations souvent longues et complexes, dont les effets effectifs ne se feront ressentir qu’après plusieurs années.

Il en est ainsi par exemple pour l’agriculture, au regard des négociations récurrentes sur la Politique Agricole Commune à Bruxelles, mais également pour la finance et la gestion de patrimoine avec la réglementation MiFID, et pour l’industrie le BTP et la construction avec la fiscalité sur le GNR et les quotas de CO2. Or, toutes ces négociations et évolutions de la réglementations, prennent en partie appui sur des outils d’aide à la décision, qui sont utilisés par les décideurs pour chiffrer et évaluer les impacts potentiels liés à un scénario, compte tenu de la multiplicité des facteurs et des variables à prendre en compte.

Or ces modèles reposent sur des hypothèses, des équations comportementales et d’optimisation, dont il faut bien maîtriser les effets et la pertinence, compte tenu de l’importance qui est la leur dans les chiffrages qui sont avancés par les décideurs, et qui bien souvent, constituent les seuls éléments tangibles pour justifier ou infirmer une décision stratégique. Ces éléments sont détaillés dans ce qui est appelé la littérature académique et des articles à caractère scientifique, faisant l’objet de publications dans des revues le plus souvent à comité de lecture.

Il apparaît dès lors stratégique de maîtriser les forces et les faiblesses des outils existants, utilisés pour faire évoluer ou non, la réglementation en vigueur, ou des équilibres de marché, par le biais notamment d’une ouverture à la concurrence.

Deux principales raisons doivent être en effet avancées :

  1. La première concerne la maîtrise du « timing » et des arguments de fond, en pouvant participer et potentiellement faire évoluer favorablement et suffisamment en amont le modèle ou l’indicateur utilisé, en révélant certains biais pouvant nuire à l’objectivité et à la robustesse des résultats obtenus.
  2. La seconde concerne la sécurisation de votre stratégie et de votre capacité d’influence, en disposant d’argument de fond, à caractère scientifique, pour affirmer ou infirmer la pertinence des principaux outils utilisés pour étayer et nourrir les arguments des décideurs.

Le cabinet Gibert consulting dispose de toutes les compétences et du réseau d’expert pour auditer les modèles, indicateurs et outils d’aide à la décision, sur la base d’une étude approfondie, argumentée et objective de la littérature économique et des articles scientifiques concernés.

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